La Bretagne, un territoire convoité mais pas seulement par les Parisiens
Contrairement aux idées reçues, la Bretagne ne voit pas ses résidences secondaires majoritairement acquises par des habitants de la capitale. Une étude récente démontre que les acquéreurs viennent d’horizons bien plus variés, remettant en question certains stéréotypes.
Des chiffres qui déconstruisent les préjugés
- Diversité des acquéreurs : Seuls 15 % des acheteurs de résidences secondaires en Bretagne sont originaires de Paris, selon les dernières données disponibles.
- Proximité géographique : Les régions limitrophes comme les Pays de la Loire et la Normandie représentent une part significative des transactions.
- Attrait national : Des acheteurs viennent de toute la France, attirés par le cadre de vie et les paysages bretons.
Pourquoi cette diversité ?
Plusieurs facteurs expliquent cette répartition :
- Accessibilité : Les infrastructures routières et ferroviaires facilitent les déplacements depuis d’autres régions.
- Prix attractifs : Comparé à d’autres régions côtières, l’immobilier breton reste abordable.
- Qualité de vie : Le littoral, la culture locale et la tranquillité séduisent un large public.
Un marché en constante évolution
Le marché des résidences secondaires en Bretagne continue de se dynamiser, avec une demande soutenue malgré les fluctuations économiques. Les professionnels de l’immobilier soulignent une tendance à la hausse des achats par des retraités et des télétravailleurs, en quête d’un cadre de vie plus paisible.
Témoignages et perspectives
« La Bretagne offre un équilibre parfait entre nature et modernité, ce qui attire des profils très variés », explique un agent immobilier local.
Les perspectives pour les années à venir restent positives, avec une attention particulière portée sur le développement durable et la préservation des paysages, des critères de plus en plus importants pour les acquéreurs.
En conclusion, la Bretagne séduit bien au-delà des Parisiens, confirmant son statut de destination prisée pour les résidences secondaires, mais avec une diversité d’acquéreurs souvent sous-estimée.